« La Chanson de Poligny », plus connue sous le nom d’« À Dieu playse Poligny », son refrain, également la devise de la ville, a été composée dans les années 1860.
Depuis 2012, une plaque apposée sur la façade du lycée Friant, place des Déportés, à l’initiative de l’Association du patrimoine, commémore les 83 déportés de Poligny et de ses environs.
Poligny connut, au lendemain du coup d’État du 2 décembre 1851, une véritable journée d'insurrection : érection de barricades, emprisonnement de notables, marche sur Lons-le-Saunier.
Natif de Vadans, près d’Arbois, Claude Dejoux (1732-1816) est un sculpteur d’inspiration baroque, puis néo-classique. Il a reçu de nombreuses commandes officielles, tant sous l’Ancien Régime que sous la Révolution et l’Empire.
De 1876 à 1883, le village de Miéry a pour curé l’abbé Domenech (1825-1903). Un curé journaliste et écrivain, à l’humour caustique, qui a fréquenté le Far West et les cours impériales.
Alphonse Ligier (1851-1905) est un médecin et homme politique polinois, qui exerça notamment les fonctions de maire de Poligny de 1892 à 1893.
Héros de la bataille de Mazagran (1840), durant la conquête de l’Algérie, le capitaine Magnien (1797-1869) est enterré à Poligny. Son monument funéraire est le plus singulier du cimetière.
Poligny compte quinze édifices et plusieurs centaines d’objets mobiliers bénéficiant du statut de « monument historique », qu’ils soient classés ou inscrits.
Ludovic Mouchot (1847-1893) est un peintre natif de Poligny. Les collections du musée de sa ville natale conservent notamment plusieurs de ses portraits.
L’abbé Gabriel Sage (1914-1995) est l’une des grandes figures de la sauvegarde du patrimoine polinois. Il s’est notamment consacré durant vingt ans à la restauration de la collégiale Saint-Hippolyte.